Un téléphérique dont on ne sait toujours pas quand il sera de retour
Nos conseillères ont à nouveau interrogé le collège pour faire le point sur les travaux de réhabilitation du téléphérique. Alors que le retour de celui-ci était initialement annoncé pour l’été 2021, on n’en voit toujours pas le bout. Et outre ce retard important, les coûts explosent sans que les subsides ne suivent. En cause : la nécessité de remplacer un pylône et de renforcer les deux autres, alors que ce n’était pas prévu au départ. Cette différence de plusieurs millions d’euros est pour l’instant à charge de la Ville, ce que regrette Ecolo. Malheureusement, alors qu’il s’agit de l’un des dossiers phares de la législature, le collège était dans l’impossibilité de fournir plus de détails quant aux nouveaux délais de finalisation attendus ni quant au surcoût précis pour la Ville. Ecolo reviendra donc à la charge sur ce dossier.
Gourdes pour les employés communaux
La conseillère Christelle Stadler a profité du point concernant l’achat supplémentaire de bouteilles d’eau en plastic cet été à l’attention des ouvriers communaux pour, à l’avenir, encourager à penser à des alternatives telles que l’achat de gourdes pour le personnel. En effet, cela contribuerait à la sensibilisation à l’eau du robinet et à la promotion du zéro déchet soutenue par Intradel et également validée dans le cadre du conseil communal. Cela permettrait aussi des économies à terme. Bonne nouvelle : il sera tenu compte de sa remarque.
Une demande de subsides nécessaire mais sans doute insuffisante pour la cité administrative
Le conseil communal a validé le dossier de demande de subsides dans le cadre du Plan de relance en vue de financer une partie du projet de cité administrative. Si la Ville est retenue et qu’elle obtient le maximum auquel elle peut prétendre, elle pourra ainsi espérer 7 millions d’euros. Ecolo a évidemment soutenu cette demande, tout en rappelant ses craintes par rapport au coût global du projet qui s’élève à près de 29 millions d’euros, soit 22 millions d’euros qui resteront dans tous les cas à charge de la Ville. Si l’ambition de rassembler l’ensemble des services communaux sur la rive gauche constitue une initiative louable, son coût global reste un fort sujet de préoccupation pour Ecolo au regard de la situation budgétaire globale de la Ville. Notre conseillère Anabelle Rahhal a également regretté que la fiche relative à la Protection et la restauration de la biodiversité et des écosystèmes ne soit pas concernée par le futur aménagement vert du site et malgré les 500 000 euros prévus pour le traitement paysager. Concernant les énergies renouvelables, le dossier envisage des panneaux photovoltaïques et le respect les normes PEB actuelles. Cependant, dans la crise énergétique actuelle et vu que ce bâtiment ne verra pas le jour avant 2026, Ecolo estime qu’il serait plus ambitieux d’augmenter les exigences à ce niveau et d’aller vers un bâtiment exemplaire « Nearly Zero-Energy » en termes de consommation. L’estimation relative à la stabilité risque également d’exploser vu qu’elle est donnée à titre indicatif sur base d’une esquisse. Enfin, le plan de gestion et de vente des anciens bâtiment n’est pas actuellement pris en compte en termes d’autres sources financières. Ecolo rappelle donc l’importance de ne pas brader les anciens bâtiments et de réfléchir dès aujourd’hui à leur réaffectation !
Le dossier de la Collégiale Notre-Dame de Huy avance enfin
Ecolo est ravi de voir le dossier de désignation d’un auteur de projet atterrir enfin ce lundi soir sur les bancs du conseil communal. Mais par la voix de sa conseillère communale Anabelle Rahhal, Ecolo a exprimé sa grande déception sur les délais d’attente de ce dossier : la Ville a attendu 4 ans après la retraite de l’architecte pour relancer ce marché. Ce retard énorme a notamment engendré, avec l’augmentation des prix dans le secteur de la construction, un coût pour la Ville de 23 millions d’euros au lieu de 16 millions d’euros ! De plus, l’échafaudage est le grand oublié de ce dossier, ni entretenu ni vérifié depuis 2009, donc depuis 13 ans. La Ville n’a aucune idée de combien va coûter l’entretien futur de cet échafaudage, une mission qu’elle compte déléguer au futur architecte, mais qui ne fait pas clairement partie de ses missions dans le dossier actuel. Le coût d’entretien de ces échafaudages n’est en effet pas comptabilisé dans le montant des travaux. Quant au maintien des 4% de subsides de la Province, nous n’avons pas eu de réponse. Ce dossier patrimonial nécessite un budget colossal, qui sera évalué par la ministre en charge, avec un contrat, basé sur des tranches conditionnelles d’attribution des subsides, mais sans garantie à 100% quant à l’avenir de la restauration de la Collégiale !
Une solution nécessaire pour la section céramique de l’Académie des Beaux-Arts
Alors que la mobilisation du début de l’été avait permis de sauver l’Académie des Beaux-Arts d’une fermeture pure et simple, comme le collège l’avait initialement envisagée, les trente élèves de la section céramique se trouvent toujours aujourd’hui sans solution. En effet, les nouveaux locaux mis à disposition ne permettent pas de poursuivre leurs cours, qui sont pourtant les seuls de ce type proposés en province de Liège. A l’heure actuelle, la plupart des élèves vont donc devoir arrêter tout simplement leur formation, alors qu’il s’agit pour beaucoup d’entre eux d’un véritable projet de vie. Face à cette nouvelle situation dramatique, Rodrigue Demeuse a donc interrogé le collège afin de savoir si des solutions alternatives étaient recherchées pour ne pas laisser tomber ces élèves. En réponse, le collège a indiqué plancher sur des pistes à court terme, dont les ateliers du Cwerneu (qui ne sont malheureusement pas qualifiants), et à moyen terme avec l’étude de la possibilité d’installer un four dans le nouveau local d’Ahin. Il demeure toutefois un hiatus de 6 mois qui risque d’interrompre la formation des élèves, raison pour laquelle Rodrigue Demeuse a insisté pour que tous les efforts soient fournis pour faire aboutir les solutions de court terme envisagées.
Changements climatiques : entrée en résilience de la commune
Vu les fortes chaleurs que connaît notre pays cet été, après les inondations de l’an dernier, et les canicules des années précédentes, il est indispensable que la Ville de Huy entre en résilience. A l’avenir, les vagues de chaleur pourraient en effet être non seulement bien plus fréquentes qu’aujourd’hui, mais aussi beaucoup plus sévères et plus longues, en impactant particulièrement les villes. La bétonisation augmente la température, et le fait de vivre dans des appartements, souvent sans jardin, renforce le sentiment d’étouffement. Alors que certaines villes ont déjà pris des dispositions Sandrina Gaillard a proposé que Huy s’y mette elle aussi. Quant à Christelle Stadler, elle a particulièrement insisté sur l’urgence relative à nos écoles. Les périodes de chaleurs intenses impliquent d’adapter le bâti ET son environnement : il faudra davantage de plantations, de fontaines ; il faudra adapter les sols (couleur claire, perméables, fertiles, etc). Les avantages seront diversifiés : ce seront autant d’opportunités de s’adapter au changement climatique ET aux besoins des enfants, de rencontrer des objectifs pédagogiques et de réaliser tout cela dans le cadre d’un projet participatif : équipes pédagogiques – enfants – parents. On pourrait notamment progressivement dégoudronner les cours de récré. Une volonté politique ambitieuse est nécessaire afin de faire évoluer les lieux de vie de nos enfants, surtout vu l’implémentation des nouveaux rythmes scolaires qui va augmenter la probabilité d’exposition des enfants et des enseignants à des périodes de chaleur qui peuvent s’avérer intenables sur du bitume quasi sans arbres. En réponse, l‘échevin a listé tout ce que la Ville faisait déjà dans ce sens avec des moyens très limités, principalement à Tihange, soulignant que 2 personnes au service des travaux et au service Environnement étaient sensibilisés à cette notion transversale et en tenaient compte dans les projets… Cette réponse nous a laissés septiques, notamment au regard du nombre de permis de bâtir dispersés un peu partout en Ville.
Chemin d’Antheit : quelles avancées ?
Une mesure provisoire d’interdiction de circulation avait été prise par le Bourgmestre jusqu’au 14 mai 2022. Elle consiste en un sens interdit du tronçon bas du chemin d’Antheit vers la place des Battis. Notre Conseiller Frédéric Robinet a donc interrogé le collège sur cette situation qui devait être revue en fonction de l’efficacité (ou non) de cette mesure au terme de la période d’essai de 3 mois. « Nous sommes en août. Quelles sont les conclusions de cet essai ? Y a-t-il une plus-value en termes de sécurité ou de fluidité de circulation à cet endroit ? Si ce n’est pas le cas, il n’est pas mission de la commune d’entraver la circulation sans motif. » Si cette mesure devait être reconduite, Frédéric Robinet a demandé que le tronçon en sens interdit soit mis en SUL (sens interdit limité) et autorisé aux cyclistes. En réponse, le Bourgmestre a indiqué que la mesure était reconduite tous les 3 ou 6 mois et que le SUL serait envisagé si la mesure devenait définitive. En outre, les big-bags (installés par la Ville pour prévenir d’un risque d’effondrement imminent qui n’a pas eu lieu) qui encombrent la voirie depuis juillet 2019, soit 37 mois, entravent la mobilité et réduisent la sécurité des usagers de cette voirie. Frédéric Robinet a donc interrogé le Collège sur ce dossier, alors que le service travaux a bien commencé des travaux sur la partie de la rampe communale, travaux qui ont mobilisé des moyens importants sans apporter une solution globale. Pour le mur « privé », le caractère menaçant devait être confirmé par des mesures de géomètre 3 mois après la pose de repères. Ces 3 mois sont écoulés. L’occasion de s’interroger sur les résultats de ces mesurages. En réponse, le Bourgmestre et l’Echevin ont indiqué que le mur privé n’avait pas bougé suivant les mesures du géomètre. De nouvelles mesures seront donc prises durant l’hiver. Pour le mur communal, une réunion avec l’expert conseil doit avoir lieu pour fixer l’épaisseur du béton à couler. Les travaux communaux devraient s’achever en septembre. Le chantier sera nettoyé à ce moment.
Trou de 40.000 € dans les caisses communales : le collège ne prend toujours pas ses responsabilités
Ecolo, par la voix de Rodrigue Demeuse, est revenu sur ce trou de près de 40.000 € dans les caisses communales suite à l’absence de facturation par la Ville des charges patronales relatives aux agents détachés vers le cabinet du Ministre des Pouvoirs locaux et bourgmestre en titre. Sans l’intervention de l’opposition, cette situation continuait même jusqu’en 2024 sans que personne ne s’en aperçoive, atteignant un montant de 90.000 € ! Toute la clarté devait donc être faite sur les raisons du non-respect par le collège des conventions votées par le conseil communal qui prévoyaient le remboursement total des coûts de ces agents, et ce alors que les explications du bourgmestre ff. avaient été particulièrement contradictoires ces dernières semaines. Si le collège a apporté une série de réponses, il a toutefois continué à rejeter exclusivement et de manière intolérable la faute sur l’administration. Et ce alors que les montants figuraient noir sur blanc dans le plan de gestion voté en juin dernier qu’il a pourtant validé à plusieurs reprises. La responsabilité est donc politique. Quoi qu’il en soit, Ecolo espère que les importantes économies générées permettront de revenir sur les économies les plus violentes votées au mois de juin, notamment la réduction des plaines communales.
Plan mobilité à Tihange
Le plan mobilité de Tihange a débuté par la (re)mise en place de bacs de fleurs dans la zone 30 des Golettes. Malheureusement, il n’est toujours pas possible pour les vélos et les poussettes de les éviter et pire, même les piétons ne peuvent plus passer et doivent eux aussi rentrer dans la circulation. Le Bourgmestre ff. a répondu à Sandrina Gaillard, qui l’interpellait à ce sujet, qu’il ne serait pas possible de faire autrement à moins de refaire complétement la route, tout en lui signalant les bacs qui posent problème aux piétons.
Conséquences de l’annulation de la taxe parking
Au mois de juin dernier, le Conseil d’Etat a annulé la taxe sur les parkings prélevée par la Ville de Huy, suite à un recours de la SNCB, principale cible de cette taxe. Ecolo, qui s’était toujours opposé à cette taxe en ce qu’elle ne prévoyait pas d’exception pour les services publics tels que la SCNB, a donc interrogé le collège, par la voix de Rodrigue Demeuse, sur les conséquences de cette annulation. Il a notamment voulu savoir si cela aurait des conséquences par rapport à la compensation versée en 2021 par la Région wallonne, mais également par rapport au nouveau règlement-taxe voté en novembre 2021. Et surtout, vu l’argument retenu par le Conseil d’Etat relatif à un problème formel qui concerne potentiellement de nombreux autres règlements-taxes de la Ville, le conseiller s’est interrogé sur l’impact sur l’ensemble de ces autres règlements. En réponse, le collège a indiqué que cette annulation n’avait eu aucun impact financier pour la Ville à l’heure actuelle et que l’ensemble des règlements-taxes avaient été revus pour éviter ce problème à l’avenir.
Jardin du musée communal dans un état d’abandon
Notre conseillère Anabelle Rahhal a proposé de faire un appel aux citoyens pour un nettoyage collectif et un réaménagement concerté du jardin du musée communal. Cet ancien jardin des jardiniers de la Ville, situé dans un cadre patrimonial magnifique à l’arrière de l’ancien couvent des frères mineurs, est à l’abandon depuis la restructuration du service travaux il y a 2 ans environ. La proposition d’Ecolo est de lancer un appel aux citoyens motivés, qui seront guidés et organisés par la Ville. En échange de cette aide, la Ville pourrait envisager d’ouvrir ce jardin aux citoyens pendant la période estivale, par exemple aux heures d’ouverture du musée. C’est un très joli coin de fraicheur idéal pour une halte pour les promeneurs. Les ouvriers communaux étant souvent débordés, de nombreux citoyens et associations du patrimoine et de la nature pourraient être sollicitées. Ce serait un win-win pour les ouvriers communaux qui ne devront pas s’occuper tout seuls de ce nettoyage, mais aussi pour le musée communal qui pourra ainsi attirer plus de monde, comme on le constate dans d’autres villes, pour se poser après une visite au musée ou simplement pour les promeneurs et les touristes dont le musée constitue une étape presque obligatoire. Cette proposition a suscité l’enthousiasme du collège et elle sera prise en compte, envisagée et discutée avec les services concernés.
Propreté du centre-ville et des différents quartiers et sentiers communaux
Précédemment, les réponses aux nombreuses questions de notre Conseiller Frédéric Robinet relative à la propreté en Ville n’avaient pu être données et le problème avait été encommissionné. Lors de cette commission, il avat été dit que des opérations « coup de poing » seraient organisées dans tous les quartiers avec un planning de retour de 6 semaines. Or, certains quartiers n’ont, cette année, pas encore vu l’organisation d’une seule opération de nettoyage, ni ordinaire, ni coup de poing. Lors de la foire du 15 août, nous avons pourtant pu constater que les équipes avaient, par leur travail quotidien, maintenu le champ de foire dans un état de propreté remarquable. Ecolo estime qu’il est indispensable que l’hyper-centre soit propre, tant pour les citoyens que pour les touristes. La gare, la rue St Pierre, la Rue Neuve, la Rue Entre deux portes sont des voies d’accès pour les piétons très fréquentées et actuellement très sales. Frédéric Robinet a donc suggéré une meilleur répartition des moyens humains et matériels, entre les deux rives. « Un Glouton ne pourrait-t-il pas être affecté à temps partiel à la rive gauche, avec un passage sur chaque trottoir des rues principales chaque semaine et des rues plus secondaires une fois par mois ? ». Le conseiller a aussi proposé d’étendre le tri (PMC et autres) aux poubelles publiques. Il est en outre revenu sur l’utilisation du logiciel gratuit de la Région wallonne FIXMYSTREET qui permet aux citoyens et aux agents de communiquer au services communaux différents petits problèmes. La Ville de Huy se souhaite pas utiliser cet outil faute d’un agent pour sa gestion, ce qui occasionne pourtant de nombreux échanges téléphoniques et mails qui seraient inutiles avec ce logiciel. En réponse, l’Echevin a indiqué que des mesures préventives et de formation allaient être prises. Un encart dans le Huy’Mag sur l’entretien obligatoire des trottoirs par les riverains est notamment prévu.
Avenir des Ateliers du Cwerneu
Le 23 août dernier, le Centre culturel de Huy a envoyé un email pour annoncer la rentrée des ateliers du Cwerneu à partir du lundi 19 septembre, dans les nouveaux locaux de la Rue Godelet, à l’étage de l’ancien Mestdagh. Pour rappel, ce centre d’expression et de créativité, créé il y a 75 ans, est fréquenté par 250 enfants et adultes qui y suivent des cours de dessin, peinture, couture et céramique. Mais depuis janvier 2021, suite aux travaux du téléphérique, l’endroit a dû être libéré et plus rien n’a pu être organisé par manque de locaux, ce qui menace la subsidiation de la structure. Sandrina Gaillard est donc intervenue pour faire le point sur le dossier, alors que le Collège communal avait voté un projet de convention d’occupation à titre précaire pour permettre à l’ASBL de poursuivre ses activités dans une partie du bâtiment de l’ancien Mestdagh. La régie foncière possédant ce bien commercial a donc mis le 1er étage à disposition et y a effectué des travaux d’aménagement nécessaires à l’arrivée de l’ASBL à hauteur de 17580€, arrivée qui était prévue le 10 janvier 2022. Mais malgré le déconfinement, ces locaux sont restés vides et, entretemps, une autre convention a été signée en mai 2022 avec l’ASBL « Devenir », empêchant le Cwerneu de s’y installer. L’Echevin a expliqué ce lundi que le Collège venait de trouver 2 solutions : une partie des ateliers ira au rez-de-chaussée de la gare de Statte (l’étage n’ayant pas été agréé par la zone HEMECO) et l’autre partie ira à la gare Saint Hilaire en cohabitation avec les autres ASBL. Il reste par ailleurs une inconnue pour l’atelier Céramique par rapport à l’installation électrique des fours.
Huy ville touristique – Absence de quai de débarquement libre pour les bateaux de croisière
Le Conseiller Robinet a fait remarquer que suite aux travaux au Batta et à la présence de bateaux amarrés à demeure sur les autres quais, les bateaux de croisière ne savent plus accoster et permettre la descente en sécurité de leur clients susceptibles de visiter la ville et de s’y restaurer. Le Conseiller a donc demandé de maintenir la possibilité d’accostage durant une partie des travaux au Batta ou de proposer une autre solution de remplacement pour ce type de bateaux de croisière. En réponse, l’Echevin a indiqué que les quais étaient occupés de façon permanente suite à des autorisation du SPW. A la fin des travaux du Batta prévue en 2023, un accueil des bateaux de croisière sera organisé avec un planning tenu à la Maison du Tourisme.
Accessibilité des services communaux
La plupart des services fonctionnent actuellement sur rendez-vous. Le Conseiller Robinet constate que la prise de rendez-vous se fait par téléphone et n’est pas toujours aisée, le téléphone sonnant par moment dans le vide sans message, ni reprise par le numéro général. « Quand le service répond, le rendez-vous est parfois fixé à plus de 15 jours suite aux congés de certains agents traitants. » Ce délai a un impact négatif, par exemple, sur la consultation des dossiers d’enquête d’urbanisme, ainsi que sur les recours éventuels après décision. Il y a semble-t-il durant ces mois d’été, une qualité d’accueil et de service fort variable. En réponse, l’Echevin a indiqué que les services préféraient travailler par rendez-vous. En général, les rendez-vous sont donnés dans un délai très court. Une amélioration devrait se faire par la création d’un doublon en cas de congé d’un agent ressource unique.